LE SENTIER SPIRITUEL
Chaque humain agit librement. Chacun est libre de ses choix. Il peut se délecter dans la passion débridée ; il peut choisir de vivre, comme le fait la majorité, d’attirer à lui des quantités aveugles de substance désir, élevé ou bas…ou il peut suivre le sentier Spirituel.
Depuis le temps de l’Atlantide, lorsqu’il reçut le maillon de l’Esprit, l’homme a eu l’opportunité de concentrer les pouvoirs de celui-ci. Mais malheureusement, il l’utilisa pour satisfaire sa nature désir. La pensée, l’esprit, est un agent créatif ; où qu’il soit concentré, il manifestera son pouvoir.
L’humanité du début prouva cette vérité, lorsqu’en fermant son esprit au spirituel et en l’ouvrant au désir sensuel, l’homme devint adepte de magie malfaisante qui finalement détruisit la civilisation Atlantéenne tout entière, y compris le continent lui-même. DIEU est Esprit, Eternel, totalement bon. Il peut être cherché et connu à travers la réussite spirituelle. L’homme a été crée à l’image et à la ressemblance de Dieu. Mais en liant son esprit avec le désir au lieu de l’unir avec le spirituel, il tomba de sa haute condition. Il peut se relever à nouveau, pourtant, en suivant les Enseignements de la Sagesse et en faisant des efforts contre le mal—l’existence de ce qui a permis que l’homme puisse exercer son libre arbitre et ainsi cultiver le discernement. La peine, le chagrin, et le mal, sont une partie d’un plan salutaire, le but ultime de ce qui est perfection.
En soi, l’homme est un être libre et intelligent. Pour qu’il puisse devenir pleinement conscient de son pouvoir créatif divin, il doit alors apprendre à discerner entre le bon et le mauvais, le bien et le mal, et exercer le divin en lui en faisant de bons choix. Son actuel héritage de maladie, pauvreté et mort, est le résultat de ses violations de la Loi Cosmique. S’il mène sa vie en conformité avec cette loi, il s’élèvera au-dessus de ces limitations.
“ Tout ce qui est au Père est mien ”, a déclaré le Christ, et dans ces mots, Il révélait la plénitude qui est offerte à l’homme lorsqu’il vit vraiment selon la Loi Divine. Nous avons tous connu la peur sous quelque forme. La peur est une émotion au pouvoir négatif qui agit de façon adverse dans l’organisme humain entier. La peur est d’origine primitive.
“La peur est venue dans le monde au commencement de la vie, et l’homme comme chaque autre créature vivante a hérité d’elle en descendant à travers les âges de l’existence”, écrit le psychologue Stanley G. Hall.
“Le cerveau de l’homme est divisé en deux parties, l’ancien et le nouveau, le cervelet et le cerveau. Le dernier, le siège de l’intellect, est le nouveau cerveau. Le premier, le cervelet, est l’ancien cerveau. Ici sont stockés tous les instincts primitifs et animaux, dont la peur est un. La peur paralyse l’intellect et réveille et libère tous les pouvoirs endormis dans le vieux cerveau, ce qui explique pourquoi il n’est pas possible de dire ce qu’une personne peut faire lorsqu’elle est totalement effrayée. Il en est de même pour l’animal qui, sous l’effet de la peur, peut devenir fou, parfois même mourir.
Alors que leur nature désir était forte et leur esprit faible, les hommes pouvaient seulement être gouvernés par la peur. Les dix commandements contiennent une devise : la peur de Dieu est le commencement de la Sagesse. Le mot peur dans la Bible a le sens de respect. La peur est le principal élément de dissuasion pour l’aspirant, le rendant inapte à servir les plans intérieurs comme un Aide Invisible conscient. Fréquemment elle interdit l’accès à l’endroit ou à la personne le plus dans le besoin, et tend à retirer un ego en service dans son corps.
En piétinant le sentier ascendant, chaque esprit doit passer à travers les régions inférieures du Monde du désir (Purgatoire), où les esprits humains et sous humains de la plus indésirable nature sont réunis pour attendre la purification et la correction avant la libération. Ils incluent les gens terre à terre, les suicidés dont le terme de la vie n’a pas encore expiré, et des élémentaux de types variés. Seul le courageux peut entrer dans ce monde et rester à l’abri de toutes ses influences.
La peur est le produit d’un sens erroné de séparativité. Au degré que nous réalisions notre unité fondamentale avec Dieu—de qui nous sommes une partie et en qui nous vivons littéralement, et bougeons et avons notre existence—nous sommes libres de la peur.
Etre un en conscience avec Dieu (bien) nous identifie avec le tout, ne laissant ainsi rien en séparation de laquelle le mal peut venir. La contemplation des qualités positives de caractère, avec simultanément une culture persistante de la confiance et du courage, mènera finalement à la conquête de toute peur.
Les attributs de l’âme de foi et d’amour sont représentés par Jean et Pierre, les deux plus importants disciples. La guérison la plus noble rapportée dans le Nouveau Testament est accomplie en leur présence. Cultiver la foi et l’amour est de la plus haute importance. Si nous persistons dans nos efforts à développer ces vertus en face de la peur et du découragement, le jour viendra où nous saurons au-delà de toute difficulté que “l’amour parfait bannit la peur”, et révèle la porte secrète ouvrant sur la libération.
La conscience peut être définie comme la voix de l’âme ; et l’âme est le produit de l’évolution, le fruit du voyage de l’égo assimilant l’expérience à travers les nombreuses incarnations. L’homme primitif était virtuellement vide de conscience. La croissance de la conscience est continue d’incarnation en incarnation. Plus ancien et plus riche est le développement de l’âme d’un individu, plus claire est la voix de la conscience et plus volontiers il écoute et agit sur sous sa guidance. Sachant ceci, les occultistes regardent avec compassion plutôt qu’avec censure les individus plus jeunes et moins évolués.
La conscience est acquise à travers la souffrance faisant partie du processus purgatoriel suivant la mort physique. Plus profonde est l’impression de péché, plus sévère doivent être les mesures de purification. En conséquence, plus forte et plus claire sera la conscience relative à cela ; et plus insistante sera l’avertissement de sa voix, quand, dans les vies futures, l’individu est tenté de répéter l’erreur. Pour cette raison, St Paul déclara que “plus grand est le pécheur, plus grand est le saint“.
Le mental est le serviteur le plus important de l’esprit. Lorsque l’homme apprend à le désengager des chaînes du désir et l’unit entièrement à l’esprit, alors il obtient la clef du Royaume et réalise l’accomplissement de la promesse du Maître : “Tout ce que vous demanderez en Mon nom au Père, Il vous le donnera”.
Ce fut par le pouvoir de Son nom (mental lié à l’esprit) que les disciples étaient capables d’accomplir de soi-disant miracles. Pour cette raison Paul enseignait à ces suiveurs que la première marche vers le développement spirituel est la pensée Christique : “Laissez cette pensée être en vous, elle était aussi en Christ Jésus”.
La pensée fondée sur le cerveau est une acquisition comparativement récente et, lorsqu’elle est fortement entraînée, tend vers l’égotisme. Elle est encline à être enflée dans son propre vanité. Lorsqu’il devient uni à l’esprit, le mental n’est pas contraint matériellement et démontre des pouvoirs au-delà de toute chose connue aux logiciens académiques.
La tâche suprême évolutionnaire de l’humanité est la spiritualisation ou la Christianisation du mental. Lorsque ceci arrivera, le mental reflètera l’esprit éternel au lieu du monde extérieur transitoire comme actuellement. En conséquence, la sagesse cosmique irradiera la conscience humaine et l’homme ne sera plus un simple homme, mais un super homme.
L’intellect représente le développement principal du mental conscient ; la mémoire, du subconscient ; l’intuition, du supraconscient. L’intuition est la voix de la supraconscience ou mental spiritualisé. Cette faculté est développée de plus en plus tandis que le mental devient un canal plus parfait pour le travail de l’esprit. L’intuition est quelquefois assimilée à la voix de l’âme, et aussi comme le sixième sens de l’homme. Cette faculté donnera sa pleine expression durant l’Age du Verseau.
Les instructions ésotériques les plus profondes ne sont jamais données ni en parole ni en écrit, mais sont projetées mentalement par les Grands Etres et sont reçues dans le silence par les perceptions intuitives du néophyte qui est suffisamment sensibilisé pour établir le contact.
Le mental subconscient ou mémoire se corrèle aux forces intérieures de la terre et peut être considéré comme étant relié aux cycles de vie du passé immédiat et du présent. Le mental conscient est en corrélation avec la lune et est relié à l’expérience présente de la terre uniquement. Le mental supraconscient est en corrélation avec le soleil et produit l’illumination connue comme Initiation, qui donne l’aptitude pour lire les rapports cosmiques traitant du passé, du présent et du futur.
Il y a un sentier défini d’évolution pour le mental et un autre pour l’âme ; néanmoins, les deux lignes se développent simultanément et harmonieusement. Plus complètement le mental devient un canal pour l’expression de l’esprit, plus l’individu devient proche de l’âme. Bien qu’une personne étudie chaque livre concernant des sujets spirituels, la connaissance en tant que telle ne la stimulera que mentalement. La connaissance en elle-même ne produit jamais la croissance de l’âme. Alors qu’un caractère développé est nécessaire à la croissance de l’âme, il n’est pas suffisant en lui-même.
Lorsque nous vivons une vie de service aimant aux autres, nous attirons dans notre corps vital un ardent et glorieux éther doré de la nature de la force du Christ. C’est l’éther lumière spiritualisé. Bien que nous en possédions déjà un noyau à travers l’amour qui s’écoule en service, nous pouvons attirer une abondance semblable de l’aura du Christ Cosmique, comme si nous respirions une atmosphère dorée coulant de l’espace cosmique. A l’intérieur de cet éther ardent, apparaît un bleu céleste qui n’est généralement pas manifesté en dehors du corps physique, excepté chez les grands saints et les Initiés. Chez ceux-ci il peut être vu dans la forme d’un soleil bleu brillant autour et à travers le visage humain en son centre. C’est l’éther réflecteur spiritualisé, l’éther réflecteur du Bien, du Vrai et du Beau.
Le mental joue une part importante dans l’évolution de l’âme depuis qu’il est le maillon entre le corps et l’esprit. Ce maillon donne la possibilité à l’Esprit de travailler dans le corps triple et d’extraire l’essence pour l’âme triple. Ce travail de l’âme, par conséquent, peut uniquement être accompli à travers le mental. C’est pour cette raison que beaucoup de textes occultes se réfèrent au mental comme le “Le sentier”, et est aussi expliqué par la déclaration de St Paul “Etre préoccupé par le sensuel est le mort, mais être préoccupé par le spirituel est la Vie Eternelle”.
Que le mental devienne un canal pour l’esprit et rien d’autre que l’esprit nécessite un entraînement long et soigné. En rapport avec cela, l’Ecole Rosicrucienne énumère 7 étapes d’une importance spéciale.
La Concentration est fondamentale et par conséquent se situe en premier. C’est un exercice strictement mental qui vise à rendre le mental centré sur un seul point, pour rejeter toute distraction extérieure à la volonté et pour maintenir le mental fermement fixé sur le sujet en considération. Cette pratique ardue et exigeante est la cause de l’abandon de plusieurs étudiants, ayant du mal à fournir davantage d’efforts pour discipliner le mental.
La Persévérance est la seconde condition requise. C’est la qualité manquant tristement chez la majorité des aspirants, en dépit du fait que sans elle rien de réelle valeur ne peut être accompli dans toute voie de l’effort. La maîtrise de tout sujet ne peut se réaliser que par l’effort continu et la patience.
Apprends à connaître le faux du vrai, et le réel de l’irréel, l’éphémère de l’éternel.
Les trois premiers stades du développement personnel sont de nature mentale ; ils sont les outils permettant à l’ouvrier de changer la pierre grossière du mental en Cube Parfait du Maître.
Les quatre étapes supérieures appartiennent au domaine de l’esprit et sont développées après que le mental a été consciencieusement discipliné.
La première de celles-ci est la Dévotion, qui est centrée dans le cœur. Le mental et l’esprit ne peuvent être unis seulement que par le chemin du cœur, quand la dévotion nécessaire a été éveillée.
La Méditation est le moyen essentiel pour un renouvellement du mental. C’est un processus spirituel facilitant l’activité mentale de concentration. Ici, un effort mental moindre est demandé, puisque la pensée a maintenant été entraînée à obéir à la plus importante impulsion de l’esprit. A travers la concentration, on arrive à être en contact avec l’aspect forme de la matière ; la méditation transcende la forme pour arriver à l’âme des choses.
La Contemplation est l’étape suivante ; ici, le mental et le cœur sont en rapport. Rien de relatif au sujet n’est dissimulé. Passé, présent et futur sont comme un livre ouvert.
L’Adoration est le stade final par lequel l’étudiant obtient “d’être un avec” le sujet ; en fait, l’adoration peut faire monter l’esprit jusqu’au véritable trône de Dieu.
Ces quatre étapes supérieures peuvent être atteintes seulement après que l’étudiant ait appris à élever sa conscience à des degrés spécifiques de développement. En adoration, un octave entier de conscience est franchi et la Conscience Christique, l’ultime but de l’évolution humaine, est atteinte.
Ainsi, chaque personne progresse à travers les grades successifs dans l’école de vie de l’évolution ; elle apprend ses leçons par un ou deux courants cosmiques de conscience—de la tête et du cœur. De plus en plus, pourtant, elle doit équilibrer les deux. C’est une tâche ardue, requerrant de nombreuses vies pour son achèvement. Néanmoins, une grande partie peut être accomplie dans une seule incarnation si l’étudiant est disposé à se dévouer à l’accomplissement d’idéaux exaltés.
Le mental est comparativement une acquisition récente de l’Ego, dont l’orgueil juvénile peut tendre vers l’arrogance et la vanité. Ce sont ces caractéristiques qui distinguent une jeune âme inexpérimentée d’une “vieille” âme mûre en sagesse. La raison est la principale faculté à s’être développée durant le cycle actuel de la cinquième race. Il est évident que dans cette ère, le mental de l’homme est ascendant et son cœur a été relégué à une condition secondaire.
Lorsque l’aspirant commence à vivre la vie spirituelle de façon sérieuse l’essence spinale s’éveille graduellement et monte vers la tête. Si l’individu est de tempérament mental, cette force sera principalement positive dans le cerveau et négative dans le cœur. Si, d’un autre côté, il est de type mystique ou un émotionnel, le contraire se vérifiera ; la polarité positive dans le cœur, négative dans la tête. Le centre positif représente la force dynamique soit du mental ou du cœur et travaille au détriment de la fonction opposée. Ainsi, quand une personne qui est centrée mentalement commence l’étude occulte, elle est apte à cultiver le pouvoir intellectuel aux dépens de sa nature dévotionnelle, à moins qu’un effort spécial ne soit fait pour contrebalancer cette tendance.
Le mental est séparatif, divisionnaire, et disruptif dans son mécanisme. Beaucoup de ceux qui ont suivi le sentier mental à l’exclusion du cœur deviennent froidement analytiques, incapables de découvrir la sagesse de l’âme qui les a stimulés un moment au début de leur quête. Ils deviennent désillusionnés et beaucoup retournent vers des buts matérialistes. Ceux qui suivent le sentier du cœur exclusivement manquent tous trop souvent de persistance, de constance, et de discernement pour se piloter elles-mêmes le long des buts élevés du sentier. Ainsi, ils peuvent revenir vers les chemins du monde dans le découragement, parfois le désespoir.
Le chemin sain est de travailler de façon efficace vers un véritable équilibre entre les deux. Le mentaliste doit apprendre à calmer son mental et écouter les directives de son cœur. Le mystique doit apprendre à contrôler ses émotions et tenir compte de la voix de la raison claire.
Si cette procédure est suivie, les courants spirituels montant dans le corps effectueront un équilibre de pouvoir entre le cœur et la tête ; et plus le développement du plus faible se fera, plus la tâche s’accomplira facilement. Dieu est la Première et Eternelle Flamme. Les esprits Vierges (notre humanité actuelle)sont des étincelles de cette flamme. Le but des cycles répétés de renaissances est d’attiser ces flammes jusqu’à ce qu’elles deviennent comme leur flamme mère. Après avoir été si longtemps captivés dans l’illusion de la matière, la mémoire de l’esprit de son origine céleste est devenue sombre. A travers la souffrance et la peine, elle déchire le voile de l’illusion et découvre son inhérente divinité : alors commence le long et ardu voyage vers sa maison céleste. Une fois que l’esprit est totalement éveillé, aucun obstacle ne peut entraver son progrès.
La Parabole du Fils Prodigue devient une expérience spirituelle actuelle. Las d’avoir si longtemps partagé les déchets avec les pourceaux (vivant entièrement en dehors du monde objectif), l’étincelle retourne au foyer, où la réunion avec le père donne occasion à une grande réjouissance, comme cela est relaté dans la parabole—une parabole qui est applicable non seulement à un seul individu mais aussi bien à la race humaine tout entière.
Chaque activité de l’homme oppose son impression sur l’enveloppe psychique de la Terre. Cela s’applique à la pensée, à la parole, et aux actes physiques. Si ces activités sont constructives, leurs émanations sont absorbées par l’Ame du monde et en deviennent un des composants. Si au contraire, ces activités sont négatives et destructives, leurs émanations deviennent de sombres et sinistres courants et restent dans les domaines astraux jusqu’à ce que l’Ego responsable de ces créations accomplissent la tâche de liquidation. C’est seulement si nous réalisons la pleine importance de l’étape précédente que nous commençons à comprendre le sens réel de la transmutation et son immense signification en relation avec notre “bien-être”. Nous sommes individuellement responsables de la réaction sur terre, de chacune de nos pensées, paroles et actions. Bibliquement, cette vérité est donnée dans l’Evangile de Matthieu : “Par vos paroles vous serez justifiés, et par vos paroles, vous serez condamnés”.
Le pouvoir transmutatoire à l’intérieur de l’homme se situe dans les forces d’imagination, d’inspiration et d’intuition. C’est par l’utilisation constructive de la faculté de former des images, unie au souffle de l’intuition à travers la voix (pouvoir) de l’esprit que le miracle de la transformation peur être effectuée ; un miracle qui clarifie notre tissu karmique et ainsi accélère considérablement notre évolution spirituelle.
Dotés de ces pouvoirs, nous faisons un progrès graduel sur le sentier spirituel. Nous apprenons à transformer le mal en bien, la haine en amour, le sombre en lumineux. La transmutation est la merveilleuse clef qui ouvre la porte au “devenir un” avec cette Lumière qui est la Lumière du Monde. A travers la transmutation, nous atteignons ce sommet qui est le gardien suprême de la vie terrestre : pour “Marcher dans la Lumière comme Il est dans la Lumière, et être en communion les uns avec les autres ”.