SIGNES ET SYMBOLES OCCULTES
Ces symboles ne sont pas arbitraires, pour être interprétés par la raison, mais des "caractères" écrits de la science spirituelle. Cette dernière n’invente pas de tels "signes" avec l’intellect ou une imagination arbitraire, mais reproduit simplement en eux ce qui s’étend actuellement devant la faculté spirituelle de vision dans les mondes suprasensibles. Toutes les spéculations et explications intellectuelles, quoique habiles, ne sont pas à leur place dans le traitement de tels signes, vu qu’ils ne sont pas arrivés par la pensée mais sont purement une description de ce que le soi-disant "voyant" perçoit dans les mondes invisibles. Les signes reproduits ici sont une description des expériences dans les mondes astral (désir) et "spirituel"(Dévachan) [pensée]. Les sceaux des sept premières gravures représentent les faits actuels du monde astral, et les sept colonnes les faits du monde spirituel.
Mais tandis que les sceaux reproduisent directement les expériences de la vision spirituelle, ceci n’est pas le cas des sept colonnes. Car les perceptions dans le monde spirituel, distinctes du monde astral, doivent plutôt être comparées à l’audition spirituelle que la vue. Mais l’audition spirituelle ne devrait pas être considérée comme similaire à l’audition dans le monde physique bien qu’elle puisse être comparée avec elle. Les expériences d’audition spirituelle peuvent seulement être exprimées dans une image, en étant traduites des "sons" à la forme. Ceci a été fait dans le cas des colonnes ; la nature desquelles est seulement intelligible lorsque les formes sont pensées en tant que plastique, non imagé.
Selon la science spirituelle, les causes des choses dans le monde physique sont situées dans l’invisible. Ce qui est manifesté physiquement a ses archétypes ou ses images primitives dans les mondes astraux et ses forces spirituelles originales (sons primitifs) dans le monde spirituel. Les sept sceaux donnent les archétypes astraux de l’évolution humaine sur terre, en accord avec la science spirituelle. Lorsque le voyant dans les plans astraux trace cette évolution en remontant dans le passé et vers le futur lointain, ces périodes lui sont exposées dans les sept sceaux donnés à présent. Il ne doit pas inventer quoique ce soit, mais simplement comprendre les faits qu’il perçoit spirituellement.
Avec le premier sceau peut être comparée sa description dans l’Apocalypse :
"Et je me tournai pour entendre les sons qui m’atteignaient ; et alors je vis sept chandeliers d’or, et dans le centre des chandeliers quelqu’un qui ressemblait à un Fils d’Homme, dans un long vêtement et avec une ceinture d’or sur les reins ; et sa tête et ses cheveux étaient blanc brillant comme de la laine blanche ou de la neige, et ses yeux étaient comme une flamme de feu. Et ses pieds étaient comme un feu vivant brûlant dans un fourneau, et sa voix était comme le bruit de grandes eaux. Et à sa main droite étaient sept étoiles, et de sa bouche sortait une épée à deux tranchants aiguisés et son visage était comme le soleil brillant dans sa force".
Ici, en images générales, les mystères les plus difficiles à atteindre de l’évolution humaine sont indiqués. Si nous devions décrire complètement ce que le voyant peut regarder dans ces images, un immense livre aurait dû être écrit. Nous donnerons seulement quelques indications.
Chaque signe et forme dans les sceaux est significatif, et ce qui est dit ici peut seulement être une partie du tout. Parmi les organes humains et les moyens d’expression se trouvent certains qui dans leur forme actuelle représentent les étapes graduelles de développement des formes primitives, et qui ont donc passé leur apogée de perfection ; mais d’autres représentent les premières étapes d’un développement qui est sur le degré supérieur. Ces parties sont encore imparfaites en l’homme, et auront dans le futur des tâches tout à fait différentes et supérieures à remplir. Un organe qui doit devenir plus élevé et plus parfait dans le futur qu’il ne l’est actuellement est l’organe de la parole, avec touts les éléments qui y sont connectés. En indiquant ceci nous touchons à un grand mystère de l’existence, qui est aussi appelé le "Mystère du Verbe créateur". Les fonctions futures de cet organe, lorsque l’homme sera spiritualisé, seront celles de production ou de génération.
Dans les mythes et les récits religieux ce moyen spiritualisé futur de reproduction est indiqué par l’image, qui est synonyme de vérité, d’une "épée" ardente sortant de la bouche. Les premières étapes du développement terrestre de l’homme ont commencé leur course à une période où la terre était encore "ardente" ; et les premières incarnations humaines furent formées en dehors de l’élément feu. A la fin de cette course terrestre l’homme irradiera lui-même son être intérieur vers l’extérieur de façon créative par la force de l’élément feu. Ce développement continu du commencement à la fin de la terre se révèle lui-même au voyant quand il voit sur le plan astral l’archétype de l’homme en évolution, tel qu’il est reproduit dans le premier sceau.
Le commencement de l’évolution de la terre se tient dans les pieds ardents, sa fin dans le visage ardent, et le pouvoir total du verbe créateur, devant finalement être obtenu, est vu dans l’épée flamboyante sortant de la bouche. Alors que cette évolution est en progrès, le développement de l’homme et les pouvoirs qu’il découvre dans le cours de celui-ci sont sous l’influence successive des forces qui sont exprimées dans les sept étoiles dans la main droite. Chaque ligne et point dans l’image représente de quelque manière ce qui est connecté avec le mystère global du développement humain.
Le Sceau II représente une des premières étapes évolutionnaires de l’humanité terrestre, avec tout ce qui lui appartient. Dans le passé lointain, l’homme-terre avait en lui ce qui à présent est possédé par les animaux qui étaient laissés derrière au stade primitif du développement humain—l’esprit groupe. Dans le cas de la clairvoyance imaginative, regardant en arrière les âges passés, les traces d’esprits groupes humains sur le plan astral, leurs formes variées peuvent être réduites à quatre types fondamentaux. Et ceux-ci sont reproduits dans les quatre animaux Apocalyptiques du second sceau : le lion, le bœuf, l’aigle et cette forme qui telle un esprit groupe se rapproche de l’âme individuelle de l’homme contemporain, et qui est donc appelée homme. Ceci touche à la vérité de ce qui est ailleurs souvent interprété comme une allégorie stérile.
Le Sceau III représente les mystères de ce qui est appelé harmonie des sphères. L’homme expérimente ces mystères dans l’intervalle entre la mort et une nouvelle naissance (dans la région de l’esprit)…Mais il doit se créer dans l’esprit, à l’égard de tous ces sceaux, qu’ils ne dépeignent seulement que les expériences du monde astral. Il y a d’autres mondes que le monde astral lui-même qui peuvent être contemplés à l’intérieur de ce monde. Notre monde physique peut être observé dans ses archétypes sur le plan astral. Et le monde spirituel doit être regardé sur ce plan dans ses copies. Ainsi le troisième sceau représente les copies astrales de la région de l’esprit. Les anges soufflant dans les trompettes représentent les essences primordiales spirituelles du monde phénoménal ; les sons des trompettes eux-mêmes [sont] les forces s’écoulant dans le monde de ces essences primordiales, et par le moyen desquels les êtres et les choses sont construites et maintenues en croissance et en activité.
Les "cavaliers Apocalyptiques" représentent les points principaux du développement à travers lequel une individualité humaine passe par le cours de nombreuses incarnations et qui sont représentées sur le plan astral dans les cavaliers sur leurs chevaux : un cheval blanc brillant exprime une étape très primitive du développement de l’âme ; un cheval couleur flamme indique l’étape guerrière du développement de l’âme ; un cheval noir correspond à l’étape où seule la perception physique extérieure de l’âme est développée ; et un cheval vert brillant, l’image de l’âme mature, qui a obtenu la maîtrise sur le corps (de là la couleur verte, qui apparaît comme l’expression des forces vitales travaillant de l’intérieur vers l’extérieur).
Le Sceau IV représente, parmi autres choses, deux piliers, un qui s’élève hors de l’eau, l’autre hors de la terre. Dans ces piliers est indiqué le mystère de la partie jouée dans l’évolution humaine par le rouge, ou sang oxygéné, et le bleu, ou sang carbonique. L’égo humain passe à travers son évolution dans le cycle de la terre apportant sa vie à l’expression physique dans l’action et la réaction sur chaque autre, de sang rouge, sans lequel il n’y aurait aucune vie, et de sang bleu, sans lequel il n’y aurait aucune connaissance. Le sang bleu est l’expression physique des forces donnant la connaissance, qui toutefois par elles-mêmes dans la forme humaine sont connectées à la mort ; et le sang rouge est l’expression de vie, qui en elle-même dans la forme humaine ne donne aucune connaissance. Les deux, lorsqu’elles coopèrent, représentent l’arbre de connaissance et l’arbre de vie, ou les deux piliers sur lesquels la vie et la connaissance de l’égo progressent extérieurement à ce degré de perfection où l’homme devient un avec les forces-terre universelles. Cette dernière future étape vient à la vision sur les sceaux dans la demi-face consistant en nuages, et la face qui a acquis les forces spirituelles du soleil. L’homme n’acquerra alors plus longtemps la connaissance à moins de l’avoir " dévorée ", comme ceci est indiqué par le livre dans le centre du sceau. Jusqu’à ce qu’il soit ainsi "dévoré" sur une étape supérieure d’existence les sept sceaux du livre ne sont montrés dans le Sceau III ouvert. Dans la Révélation de St. Jean sont trouvés les mots significatifs, "Et je pris le petit livre de la main de l’ange, et je le mangeai".
Le Sceau V représente une étape supérieure de l’évolution humaine, telle qu’elle prendra place lorsque la terre se sera une fois de plus unie au soleil, et que l’homme ne travaillera plus longtemps simplement avec les forces-terre mais avec les forces-soleil. La "femme d’où le soleil se projette relate cet être humain du futur. Certaines forces d’une qualité inférieure, qui vivent actuellement à l’intérieur de l’homme et empêchent le développement complet de sa spiritualité supérieure, il devra les rejeter tout à fait hors de lui. Ces forces sont représentées dans le sceau—d’un côté, dans le dragon avec les "sept têtes et les dix cornes" ; de l’autre côté, dans la lune sous les pieds de l’humanité soleil. En science spirituelle la lune est le centre de certaines forces inférieures qui sont encore actives dans la nature humaine aujourd’hui, et que la future humanité déposera sous ses pieds.
Le Sceau VI représente l’être humain purifié, non seulement spiritualisé mais renforcé en spiritualité, qui n’a pas seulement soumis les forces inférieures, mais les a tant transformées que, changées au mieux ; elles sont au service de l’homme. le dragon apprivoisé exprime ceci. En référence à lui nous lisons dans la Révélation de St. Jean, "Et je vis un ange descendre du ciel, ayant la clef d’un abîme insondable et une grande chaîne dans la main. Et il tenait tranquille le dragon, ce vieux serpent, qui est le diable, Satan, et l’attache pour un millier d’années".
Le Sceau VII est une reproduction du Mystère du saint Graal. C’est cette expérience astrale qui transmet la signification universelle de l’évolution humaine. Le cube représente le monde de l’espace, non encore mêlé à aucun être ou événement physique. Aux yeux de la science spirituelle, l’espace n’est pas seulement un vide, mais le véhicule dans lequel les germes de toute chose sont cachés de façon invisible. De lui est le monde physique, c’est à dire, précipité, comme un sel est déposé d’une solution transparente. Et, comme l’homme regarde, ce qui est développé hors de l’espace passe à travers l’évolution de ce qui est inférieur à ce qui est supérieur. En dehors de l’espace tridimensionnel, exprimé par le cube, grandit, le premier de tous les pouvoirs humains, illustré par les deux serpents ; ceux-ci à nouveau font jaillir d’eux-mêmes la nature supérieure spirituelle purifiée représentée dans les spirales du monde. La croissance ascendante de ces pouvoirs supérieurs rend possible à l’homme de devenir le récipient, ou calice, d’être purement cosmique spirituel, exprimé dans la colombe. De ce fait, l’homme devient le gouverneur de forces cosmiques spirituelles, décrites dans l’arc-en-ciel.
Ceci est seulement une description superficielle de ce sceau, dans lequel d’insondables profondeurs demeurent cachées, prêtes à être révélées à celui qui se permettra de travailler sur lui en méditation dévotionnelle. Autour de ce sceau est inscrite la vérité qui sert de dicton à la science spirituelle moderne, Ex Deo nascimur, in Christi morimur, per spiritum sanctum reviscimus (« Je suis né de Dieu, je meurs en Christ ; et je renais par l’Esprit Saint). La signification de l’évolution humaine est totalement suggérée dans cette maxime.
Entre chaque couple de ces sceaux pourrait se tenir une des colonnes, qui sont reproduites dans la seconde série d’images. Comme ayant été dit ci-dessus, les points essentiels de ces colonnes représentent les expériences du voyant dans le monde spirituel. Ils traitent de la perception des forces primitives qui consistent en sons spirituels. Les formes plastiques des points essentiels sont des interprétations de ce que le voyant entend. Pourtant ces forces ne sont en aucune façon arbitraires, mais telles qu’elles résultent tout à fait naturellement quand le "l’être humain voyant" permet à la "musique spirituelle", ou harmonie des sphères, qui s’écoule à travers son être entier, de travailler à son progrès. Les formes plastiques sont véritablement une sorte de "musique gelée", exprimant des mystères cosmiques. A celui qui réalise ce qui est concerné ceci semble tout naturellement que les formes apparaîtraient aussi capitales que les colonnes. La base du développement spirituel des êtres-terre dans le monde spirituel. De ce monde ils sont "encouragés".
A présent tout développement dépend du progrès dans les sept étapes. (Le nombre sept ne devrait pas être regardé comme résultat d’une superstition, comme l’expression d’une loi spirituelle, comme les sept couleurs de l’arc-en-ciel sont l’expression de la loi physique).
La terre elle-même avance à travers sept conditions d’évolution, qui sont appelées par les noms des sept planètes : les étapes de Saturne, Soleil, Lune, mars, Mercure, Jupiter et Vénus …non seulement un corps céleste avance de cette manière dans son évolution, mais chaque évolution passe par sept étapes, auxquelles, selon la science spirituelle moderne, sont donnés les noms des sept étapes planétaires. Comme décrit au-dessus, les forces spirituelles supportant ces conditions sont reproduites dans les formes des colonnes. Mais aucune véritable compréhension de cette question ne réussira si seule l’explication intellectuelle est prise en compte en examinant les formes. Nous devons regarder les formes, nous identifiant nous-mêmes avec elles par sentiment artistique, et permettant aux points essentiels de travailler sur nous aussi simplement que la forme. Celui qui néglige de faire ceci pensera qu’il a devant de simples allégories, ou, au mieux, des symboles—auquel cas il aura fait une interprétation erronée de toute la question.
Le même facteur passe par tous les sept points essentiels : une force d’au-dessus et une d’en dessous, s’efforçant en premier lieu d’aller l’une vers l’autre, puis se rencontrant et coopérant. Ces forces doivent être senties dans leur plénitude et leur vitalité intérieure, et alors l’âme elle-même expérimentera comment, prenant forme vivante, elles se déploient, se contractent, sont enfermées, entrelacées, dévoilées, et si extérieurement. Il est possible de sentir cette complication des forces de la même manière que l’on sent dans les plantes le processus "d’auto formation" provenant de leurs forces vivantes ; et il est possible de sentir comment la ligne de force s’élève en premier verticalement dans la colonne, et comment elle se développe au-dessous dans les formes plastiques des points essentiels, qui s’ouvrent et se dévoilent elles-mêmes aux formes venant les rencontrer du dessus, pour que point essentiel encourageant chargé de signification soit le résultat.
Premièrement la force se développe du dessous de la plus simple manière, et tout aussi simplement la force tend vers elle du dessus (colonne de Saturne).
Puis les forces du dessus sont remplies, elles se poussent elles-mêmes dans les points du dessous et causent les formes inférieures pour dévier de façon oblique. En même temps ces formes inférieures se dévoilent en organismes vivants (colonne du Soleil).
Ensuite la dernière partie devient plus différenciée, un point qui a poussé grandit aussi bien qu’en un principe fertile, et la partie inférieure est transformée en porteur de fruit. L’autre facteur de force, entre les deux, est devenu un pilier support, parce que la relation des membres intervenant ne voudrait autrement être sentie assez forte en tant que pouvoir de soutien. (colonne de la Lune).
Plus tard une séparation du supérieur et de l’inférieur prend place, les supports forts du point essentiel de la Lune sont eux-mêmes devenus des piliers, les parties supérieure et inférieure entre elles ont grandi ensemble dans une structure, et un nouveau facteur est indiqué du dessus. (colonne de Mars).
Ensuite les structures résultant de l’union du supérieur à l’inférieur ont reçu la vie, et donc apparaissent comme un bâton enlacé de deux serpents. Nous devons sentir comment ce facteur grandit organiquement en dehors du précédent. Les structures centrales du point essentiel de Mars ont disparu ; leur force est absorbée par les parties intérieures de soutien du point ; les indications venant du dessus précédemment sont devenues plus complètes. (colonne de Mercure).
Dans la prochaine il y a une tendance vers la simplification à nouveau, qui néanmoins porte en elle le fruit de l’élaboration précédente. La partie supérieure s’ouvre en calice, l’inférieure simplifie la vie dans une forme chaste (colonne de Jupiter).
La condition finale montre cette " plénitude intérieure" combinée avec la simplification extérieure, au plus haut degré. Les transformations de croissance du dessous ont appelé du dessus une forme porteuse de fruit comme un calice (colonne de Vénus).
Celui qui est capable de sentir tous les événements cosmiques exprimés dans ces colonnes sent les lois de l’existence d’une grande portée, qui résolvent les problèmes de vie d’une très différente manière que les obscures "lois de la nature".
Un exemple est donné, dans ces illustrations, sur la manière dans laquelle la vision intuitive spirituelle peut devenir forme et vie, et prendre une forme artistique. Il peut être noté que les illustrations reproduisent les forces vitales de l’existence, appartenant aux mondes supérieurs ; et ces forces vitales supérieures ont un effet profond sur celui qui contemple les images.
Elles travaillent directement sur les forces leur correspondant qui sont endormies dans chaque être humain. Mais leur effet est correct seulement les images sont regardées avec la bonne disposition d’âme. Celui qui [correctement] les contemple…recevra d’elles quelque chose de plus sacré. Celui qui les suspend, ou les place dans quelque endroit fortuit où il y sera confronté avec les pensées et sentiments de chaque jour, deviendrait conscient d’un effet défavorable, qui peut même influencer la vie physique.
Ceci pourrait être né dans l’esprit, et les images seulement approchées en un mode qui est en harmonie avec la dévotion aux mondes spirituels. De telles images serviraient à décorer une pièce dévouée à la vie supérieure ; elles ne doivent jamais être trouvées ou regardées aux endroits où les pensées des gens ne sont pas en harmonie avec elles.
RAYS JANVIER FEVRIER 2000 RUDOLF STEINER
Traduction Chantal Duros