L ' ARGUMENT CONTRE LES VACCINATIONS
QUESTION : Etant donné l'efficacité apparente des vaccins contre la coqueluche, le tétanos, et la diphtérie pour les enfants, quelle réponse peut être donnée à celui qui n'a pas la compréhension de la Philosophie et cite la diminution des épidémies, comme un résultat de ces vaccins ?
REPONSE : Une réponse adéquate peut hardiment être donnée en quelques mots. Il est nécessaire qu'une personne considère le problème avec une vision plus large que le matérialiste habituel dans le but d'atteindre une compréhension approfondie de tous les facteurs concernés.
En premier, nous devons réaliser que "L'homme est un créateur par le moyen de ses pensées, et les pensées mauvaises, les pensées de peur et de haine, prennent forme, et au cours des siècles elles se cristallisent en ce que nous appelons bacilles. Les bacilles des maladies infectieuses sont particulièrement des incarnations de peur et de haine, et par conséquent elles sont aussi vaincues par la force opposée, le courage. Comme un diapason commencera à vibrer lorsqu'il frappe un autre diapason de même degré, ainsi feront ces germes microscopiques. Si nous entrons en présence d'une personne infectée par une maladie contagieuse avec peur et en tremblant, nous attirerons plus sûrement sur nous-mêmes les microbes toxiques donnant la mort. Si, d'un autre côté, nous approchons cette personne dans une attitude parfaitement dépourvue de peur, nous échapperons à l'infection, particulièrement si nous sommes dirigés par l'amour".
Maintenant revoyons les faits concernant les bacilles et l'inoculation. "Les bactériologistes ont découvert que beaucoup de maladies sont causées par des micro-organismes qui envahissent notre corps, et aussi que lorsque cette armée invasive commence à créer une perturbation le corps commence à fabriquer des germes d'une nature opposée ou une substance qui empoisonnera les envahisseurs. Il est alors question de savoir qui seront les plus forts, les envahisseurs ou les défenseurs. Si les microbes de défense sont plus nombreux que les envahisseurs ou si le poison qui est nocif aux envahisseurs est fabriqué en quantité suffisante, le patient récupère. Si les défenseurs sont vaincus ou si le corps est incapable de fabriquer une quantité suffisante de sérum nécessaire au poison des envahisseurs, le patient succombe à la maladie.
Il fut par la suite découvert que lorsqu'une certaine personne s'est remise une fois avec succès d'une maladie spécifique, elle est immunisée des attaques renouvelées de cette maladie pour la raison qu'elle a dans son corps le sérum qui est une mort pour les germes qui causent la maladie à laquelle elle a une fois échappé.
"Au-delà de ces faits certaines conclusions peuvent être tirées :
1/ Si on inocule à une personne en bonne santé quelques germes d'une certaine maladie elle contractera cette maladie sous une forme bénigne. Il sera alors capable de développer le sérum salvateur et ainsi il s'immunisera contre cette maladie dans le futur. C'est la philosophie de vaccination en tant que moyen de prévention de la maladie.
2/ Lorsqu'une personne a contracté une maladie et est incapable de fabriquer une quantité suffisante de sérum qui détruirait les micro-organismes envahisseurs, sa vie peut être sauvée en lui inoculant le sérum obtenu d'une autre personne qui s'est immunisée.
"Comme il n'est pas facile d'obtenir des antitoxines ou cultures d'êtres humains, ces cultures-germes ont été obtenues des animaux, et il a beaucoup été écrit pour et contre l'usage de telles méthodes de lutte de la maladie. Avec celles-ci nous ne sommes pas concernés. Le point de vue occulte va plus profond que la question en cause, telle qu'elle est vue du côté matériel de la vie. Il y a indubitablement des cas où la maladie a été évitée par l'usage d'antitoxines.
Il y a aussi des cas où la vaccination et les antitoxines ont causé la mort qu'elles étaient censées éviter, mais là n'est pas la question. Du point de vue occulte la vaccination et l'utilisation d'antitoxines obtenues par le processus en usage dans les instituts biologiques est à déplorer. Ces méthodes font du mal à des animaux impuissants et empoisonnent le corps humains, rendant difficile à l'Ego d'utiliser cet instrument.
"Si nous étudions la chimie de notre nourriture nous trouverons que la nature a fourni toute la médecine nécessaire, et si nous mangeons correctement nous nous immuniserons de la maladie sans vaccination".
" Lorsqu'il est en santé normale, le corps spécialise de loin une plus grande quantité de l'énergie solaire qu'il peut utiliser. Le surplus est irradié de la surface entière du corps avec une grande intensité et empêche l'entrée des micro-organismes qui manquent de force pour se battre contre le courant extérieur…
Les scientistes reconnaissent le fait d'une osmose élective. Ils savent qu'alors qu'un crible autorisera toute particule de matière à passer si elle est plus petite que le trou du crible, les reins, par exemple, garderont les liquides de l'usage pour le corps, tandis qu'ils permettront aux déchets de passer. D'une manière similaire le fluide vital fait une distinction. Il débarrasse le corps des poisons et impuretés générées à l'intérieur et repousse les produits similaires de l'extérieur.
"Cette émanation a été appelée rayons-N, ou fluide Odique, par les scientistes qui l'ont découvert au moyen de réacteurs chimiques qui l'ont rendu lumineux. Durant le processus de digestion il est le plus affaibli, car alors une énorme quantité d'énergie solaire est requise pour être utilisé à l'intérieur du corps dans le métabolisme de la nourriture. Plus nous avons mangé copieusement, plus grande est la quantité de fluide vital consacrée à l'intérieur du corps et plus faible est le courant éliminateur et protecteur .
En conséquence, nous sommes dans le plus grand danger d'une invasion par une armée de micro-organismes inamicaux lorsque nous nous sommes gorgés de nourriture.
"D'un autre côté, si nous mangeons frugalement et choisissons les aliments qui sont le plus facilement digestibles, la diminution du courant vital protecteur sera en correspondance minimisée et notre immunité à la maladie sera accrue sans la nécessité d'empoisonner nos corps avec un vaccin".
En outre, Max Heindel écrit que "Un énorme pourcentage de nos maladies est actuellement dû aux sentiments de peur de la part du patient… Il est bien connu de la science qu'une attitude de peur brise le pouvoir de résistance du corps, et de cette façon l'expose au risque de maladies qui autrement n'auraient eu aucune prise. Du point de vue occulte il est parfaitement clair pourquoi c'est ainsi…
Au moment où nous tolérons les pensées de peur, souci, colère, etc., le corps s'applique, pour ainsi dire, à fermer les portes contre un adversaire extérieur, imaginaire ou réel. Alors la rate aussi se ferme et cesse de spécialiser le fluide vital en quantité suffisante pour les nécessités du corps, et nous observons alors un phénomène qui est analogue à l'effet d'une baisse de voltage d'un ventilateur électrique…
Le fluide solaire ne va pas à travers le corps avec la même vitesse qu'auparavant. Il n'irradie plus à la périphérie en lignes droites, mais ces lignes se plissent et ainsi elles permettent aisément l'accès aux petits organismes délétères qui peuvent alors se nourrir de nos tissus et causer la maladie.
"Si les scientistes au mental consistant ou d'autres qui croient en la guérison divine connaissent cette loi ou non, ils agissent selon ses préceptes lorsqu'ils affirment qu'ils sont les enfants de Dieu, qu'ils n'ont pas de raison d'avoir peur, car Dieu est leur Père et les protégera aussi longtemps qu'ils ne mépriseront pas délibérément les lois simples de la vie.
"Le fait actuel et la vérité du problème est que la contagion vient de l'intérieur. Aussi longtemps que nous vivons une vie de bon sens, nourrissant nos corps d'aliments purs venus du règne végétal, prenant un apport suffisant d'exercice et nous maintenant mentalement actifs, nous pouvons rester solide dans la promesse que le Seigneur est notre refuge. Aucun mal ne nous arrivera aussi longtemps que nous montrerons ainsi notre foi par nos œuvres.
D'un autre côté, si nous démentons notre foi en Dieu par un mépris de Ses lois, nos espoirs de santé seront vains.
RAYS JAN/FEV 99
Traduction Chantal Duros