MESSAGES DE BABAJI

( par discrétion les Noms propres sont indiqués par une lettre majuscule)

dimanche 15 octobre 2000 21:25


Bonjour Shantidas,

BABAJI le bien aimé m'a accordée une audience pour me parler de toi, et m'autoriser à te transmettre le message ci-dessous.

Prends-en soin.

Ma S.........


« Dis à mon fils bien aimé toute l'affection que j'ai pour lui, et toute l'attention à sa démarche spirituelle.
Des instructions ont été donné à votre guru pour veiller à son travail.
je suis très satisfait des résultats à ce jour, et j'espère bientôt le recevoir dans ce grand jardin, où depuis longtemps je l'espère.

La Shakti de la grande mère flotte au-dessus de sa tête, et descendra bientôt dans le temple du corps où elle doit prendre résidence.

Dis lui que si j'ai toujours été, partout je suis aussi présent dans le cour de chacun. Mais nul ne me voit s'il ignore l'humilité. Et mon toucher est semblable à celui de la brise légère. Qui veut m'atteindre doit seulement faire silence. Eternel je suis, éternel devient en conscience l'esprit que j'élève.

Cela est ma parole à jamais renouvelée.

Dis lui que les connaissances doivent rester ce qu'elles sont, et ne pas devenir des pauses d'arrêt.

Dis lui que le maître est son Jiva, pas les voix discordantes du dehors. Car il n' y a pas plus grande que la mienne, et toutes celles par lesquelles je m'exprime.

Dis lui d'apprendre la vérité des contraires, d'apprendre à voir le jour qui se prépare dans la nuit. Qu'il est le maître de la connaissance, pas son esclave.

Les mots savants n'ont pas d'importance si la vie de l'instant ne les a pas soumis à son jugement. A ce point je sais qu'il a beaucoup travaillé.

Dis lui de percer dans la maya de la vie, le secret de la vérité. Que ses souffrances passées, et son angoisse présentes soient un tremplin pour le futur.

Ma soeur, veille à ces détails.

Par sa voix ressusciteront les antiques vérités du passé. Mais dans le but d'éclairer le présent. Que son cour apprenne à privilégier les vérités utiles aux temps présents, à distinguer l'ivraie inutile des ruses des assuras.

Je veux qu'en cette vie , il puisse le faire, et qu'il s'organise en conséquence.

Puisse mon très estimé frère, votre Mahatma sacré lui parler plus souvent, et desserrer l'étreinte de rigueur que je lui avais suggéré. Le temps est venu de l'éprouver dans la lumière de son aura.

Que les leçons soit du feu de l'Agni. Mon messager doit être de l'acier le plus souple.

En ce fils j'ai confiance.

Telle est ma volonté et mon désir ainsi exprimés à ton Maha guru à qui je l'ai confié.

Sois par avance un soutien pour cet enfant, quand il risquera de chanceler, car ton Chohan a les griffes acérées.

Les temps sont nouveaux, et j'accorde une grande importance au travail sur internet, à cette communication électronique qui met la planète entière en contact. Et dans ce but, j'ai mis en dépôt chez ton maha siddha un message pour son oeuvre publique. Quand il le jugera utile, alors il le lui donnera, après la bénédiction de son sceau.

Je suis toujours présent, quand des disciples s'assemblent en un lieu, même virtuel pour servir.

Vos assemblées sont des temples, et ma main vous protège, même ceux dont les cris de détresse me parviennent.

Bénis ô ma soeur, ce fils bien aimé, , et Sois remerciée sainte devi, mon ardente confidente, mère attentive par trois fois bénie. »

AUM !

 

mercredi 25 octobre 2000 18:28

« Ma voix s’exprime dans tous les contraires, parce qu’éternel et sans limites je suis.

La force du mâle s’élève tandis que celle de la femelle enveloppe.

Ainsi, en chaque fils unique, je vois toujours ces jumeaux.

Je montrerai à chacun qui m’écoute comment distinguer le jour dans la nuit, et la nuit dans le jour.

Celui qui sait voir ce que je montre est mon enfant préféré, mon unique messager.

Et en chacun je vois mon unique ambassadeur.

Ma force pousse en celui qui se déploie dans la découverte de la Vérité.

Les temps sont différents en ces jours qui sont les vôtres. L’homme apprit l’Un, mais négligea son opposé.

Mais le contraire maintenant doit être associé à son autre face, pour parvenir à ma totalité.

L’homme me pria des éons durant, et me crut son Unique.

Mais mon cœur aussi bat dans la poitrine de celui qui ne me prie pas.

Aujourd’hui, il faut redonner la vie à la prière et agir aussi dans le monde des formes contrastées.

Voir dans tous mes visages multiples, souvent opposés, une seule réalité.

Mais que mes images différentes ne cessent de se multiplier, cela est bien, car en mon jardin, j’aime la diversité des fleurs.

Mon fils doit comprendre les maîtres du passé, qui sont les leçons de sa vie, parce qu’en une nouvelle naissance je le destine.

De ces semences germera la route du futur.

Mon messager est le porteur de la conscience de l’instant, regard du passé, projection du futur. Et quiconque fait cela est mon unique bien aimé, héritier de ma flamme.

Ce qui est clos dans les ouvrages m’est déplaisir, tant que les épreuves ne le justifient.

L’époque est au groupe et à l’association fraternelle. En chaque j’existe comme le ciment des différences.

Multipliez les fraternités, et balayez les vieilles poussières du regard neuf de l’époque.

A chaque temps sa couleur. Découvrez et déployez la vôtre. Que chacun l’enrichisse de sa nuance.

Telle est ma parole, et ma volonté à proclamer à la face de qui comprend par vos moyens d’expression.

Dis tout cela à mon fils préféré, Ô sri S......, et puisse ton Chohan rester toujours ce veilleur solitaire de mes enfants.

L’épreuve des temps abat sur eux sa main ferme du dépouillement. Dans leur crise de conscience, sois le soutien qui guide et le baume qui apaise. Mais que ta voix porte toujours jusqu’à moi, pour garder la route éclairée.

Dis encore à mon fils qu’en mon jardin déserté, je l’attends, comme je le fais depuis l’aube des temps.

 

AUM »

 

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