TEMOIGNAGES

ET POURTANT C'EST VRAI !!!

J'ai été guérie de la POLYARTHROSE (maladie dite incurable)

En 1988 tout s'écroule pour moi, physiquement et psychiquement, à l'annonce que je suis atteinte de la polyarthrose. C'est le gouffre, le néant. Je ne m'avoue néanmoins pas battue et commence à me documenter sur les médecines parallèles, car je viens d'être anéantie moralement après une série de piqûres à base de cortisone. Je comptais tellement sur ce traitement pour m'aider à supporter mes douleurs, hélas mon corps physique ne réagit plus aux médicaments. Il faut dire que les symptômes de ma maladie ont commencé à se manifester dès l'âge de mes 20 ans : douleurs dans le dos, dans l'épaule droite, les genoux bloqués pendant quelques jours. Alors dès mon plus jeune âge, commence pour moi l'itinéraire qu'empruntent beaucoup de malades: médecins généralistes, spécialistes, laboratoires pour les analyses. Bref, l'éternel parcours de ceux qui souffrent et cherchent un soulagement.
L'arthrose étant une maladie chronique, des périodes sans nuage comblent quand même ma vie et, durant une de ces périodes ensoleillées, je me marie. A 28 ans un enfant vient combler ma vie de bonheur et, ce sera grâce à lui que j'aurai le courage de me battre contre le mal qui me ronge.
 

J'ai 45 ans, donc déjà 25 années de souffrance derrière moi quand on m'annonce que l'arthrose commence à se développer dans tout mon corps. C'est la douche froide et je craque. Pour pouvoir malgré tout vaquer aux travaux nécessaires de ma fonction de mère de famille, commence alors la ronde infernale : anti-inflammatoires, tranquillisants, antidépresseurs, somnifères. Les douleurs dans mon corps fragilisé deviennent tellement insupportables que je ne peux plus rester couchée la nuit. Néanmoins, je ne m'avoue pas battue, au fond de moi même, je me dis que je dois tenir jusqu'à ce que mon enfant soit en état de voler de ses propres ailes, car il est en pleines études, 'c'est un adolescent qu'il faut diriger, aider.
 

Et le miracle arrive. Un ami commence à me parler de naturopathie, de l'importance d'une alimentation équilibrée en cas de maladie grave. On me donne l'adresse d'une personne qui a été guérie de la polyarthrite grâce à un naturopathe. Je prends contact avec elle, elle m'encourage. Je me laisse convaincre et téléphone au thérapeute pour prendre rendez vous.
En mai 1989, j'arrive pour la première fois chez le naturopathe grâce auquel toute ma vie va changer. Voyant mon état délabré, il me dit toutefois, sans ménagement, que ma guérison tenait à un changement alimentaire radical et , cela, à vie. Il faut préciser que, dès le départ, je m'étais fixé un objectif d'une année de soins naturopathiques avant de m'interroger sur le résultat de cette technique de soins. D' emblée, je m'entends aussi demander ma date, mon heure et mon lieu de naissance, car, hé oui, mon naturopathe pratique aussi l'astrologie médicale, aide inestimable en cas de maladie grave. Grâce à l'astrologie pratiquée d'une manière spirituelle, c'est à dire dans le seul but de venir en aide à son prochain, le thérapeute découvre les forces et les faiblesses des quatre corps de son patient: le corps physique- le corps vital- le corps émotionnel et l'intellect.
 

Les premiers soins se concentrent sur mon corps physique qui va être régénéré grâce à une alimentation très stricte. Cela est utile au début de ma thérapie, je l'accepte de bon cœur. A la maison, je continue à cuisiner d'une manière traditionnelle pour ma famille, je mange à la même table que trois autres personnes sans toucher à un seul des plats qui m'ont été défendus. LA VOLONTE !!! Voilà le mot qui prime quand on veut retrouver sa santé. LA SANTE ETANT NOTRE PLUS GRAND BIEN SUR TERRE, il faut bien se mettre dans la tête que « LA SANTE, ÇA NE SE SOUHAITE PAS, MAIS ÇA SE MERITE». Mon corps physique une fois fortifié je découvre, toujours grâce à l'astrologie,
les faiblesses de mes autres corps. Voilà encore du travail qui m'attend. Mais j'ai une FOI si grande en mon thérapeute, que rien ne m'effraye et JE ME PRENDS TOTALEMENT EN CHARGE ;
 

Au bout de quatre mois, de grandes améliorations se font sentir. C'est la joie, le jour ou je m'entends dire «Vous êtes guérie, dans six mois ça ira mieux. D'ici un an , vous ne penserez plus à tout cela». J'entrai en convalescence. MES EFFORTS, MA VOLONTÉ, tout est récompensé. CHAQUE MALADE doit bien SE METTRE DANS LA TETE que nulle autre personne ne peut manger autrement à sa place, ni travailler sur ses faiblesses, pour arriver à retrouver SANTE ET BIEN-ETRE.
 

Me voilà donc guérie de cette maladie qui, dans certain cas, peut vous envoyer dans un fauteuil roulant, après 25 années de souffrance. La santé que j'ai retrouvée, beaucoup de malades peuvent la retrouver, grâce à LA VOLONTÉ, LE COURAGE ET LA PERSÉVÉRANCE.
PUISSE CE MESSAGE D'ESPOIR, aider et redonner courage à beaucoup de personnes désespérées, tel est mon vœu le plus cher, car je continue à voir autour de moi la guérison d'autres maladies graves. NE JAMAIS BAISSER LES BRAS, continuer à se battre contre son mal et, j'en suis persuadée, un jour ou l'autre, on trouve le thérapeute qui va être le bon conseiller sur le chemin de la guérison, car, un dernier point TRÈS IMPORTANT, SI ON VEUT OBTENUE DE BONS RÉSULTATS, il faut toujours trouver le thérapeute avec lequel on est ASTRALEMENT EN AFFINITÉ.
 

A. K. Haut Rhin

L'auteur est prête à vous répondre. S'adresser à Shantidas.