Ce traité est présenté comme le résumé de l'expérience
acquise par les auteurs, expériences basées sur des diagnostics
tirés de plusieurs milliers de thèmes astrologiques, au cours
d'une pratique de longues années
Nous désirons qu'il soit bien compris que nous ne tirons pas
d'horoscopes pour de l'argent, pas plus que nous ne disons la
bonne aventure. Notre oeuvre est strictement humanitaire: à nos
yeux l'Astrologie est un aspect de la religion.
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Les parents ont une occasion exceptionnelle d'amasser des
trésors dans le ciel en prenant un soin judicieux du
développement de leurs enfants, soin basé sur la connaissance
des tendances à la maladie, révélées par leur thème
astrologique. Pour notre part, nous avons une confiance absolue
dans le témoignage fourni par le thème natal, et bien qu'en
certains cas -très rares-des doutes aient pu être exprimés sur
l'exactitude de notre diagnostic, parce qu'il était différent
de celui du médecin en rapport direct avec le malade, les
développements subséquents ont toujours donné raison à notre
jugement et ont prouvé la profonde pénétration de l'astrologie
qui est aux rayons X ce que ceux-ci sont à la lueur d'une
chandelle, car bien que les rayons X soient capables d'éclairer
le corps tout entier à un tel point qu'on puisse voir chaque
cellule individuelle en activité, ils ne peuvent montrer l'état
de ce corps qu'à un moment donné, tandis que le thème
astrologique montre le mal naissant du berceau à la tombe, ce
qui donne amplement le temps d'appliquer les remèdes préventifs
appropriés, d'éviter peut-être une maladie, ou du moins d'en
atténuer la gravité quand elle a pu triompher de nous.
L'horoscope indique le jour où l'on peut s'attendre à une
crise, et étant ainsi avertis
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nous pouvons prendre des mesures capables de nous permettre de
doubler le cap. Il indique quand les influences hostiles
faibliront, ce qui nous donne la force de supporter
courageusement la souffrance de l'heure présente par la pensée
que la guérison, à un moment donné, est certaine. C'est ainsi
que l'astrologie offre à la fois aide et espérance d'une façon
qu'on ne peut attendre d'aucune autre méthode, car son champ
d'action est plus vaste que celui d'aucun autre système et
pénètre jusqu'à l'âme même de l'Etre.
S'il existait des caractères de feu susceptibles de pouvoir
se graver d'eux-mêmes dans la conscience du lecteur, nous
n'hésiterions pas à faire tous les efforts possibles pour nous
les procurer dans le but d'avertir les étudiants de quelques
points particuliers se rapportant à la pratique de l'Astrologie
médicale. Les voici:
Ne jamais dire au malade un fait décourageant.
Ne jamais lui dire quand une crise est imminente.
Ne jamais prédire une maladie pour un temps donné.
Ne jamais, jamais prédire la mort.
C'est une grave erreur, presque un crime, de dire quelque chose
de décourageant à un malade, car c'est le priver de la force
qu'on devrait au contraire économiser avec le plus grand soin
pour faciliter la guérison; c'est aussi une faute de suggérer
des idées morbides à une personne en bonne santé, car c'est
concentrer son mental sur une certaine maladie à un moment
déterminé, et une telle suggestion est apte à faire naître
cette maladie.
C'est un fait bien connu que beaucoup d'étudiants dans les
facultés de médecine ressentent les symptômes de
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toutes les maladies qu'ils étudient et souffrent beaucoup
d'autosuggestion; l'idée d'une maladie imminente, insinuée par
une personne en qui la victime a confiance est encore bien plus
dangereuse. C'est pourquoi il sied à l'astrologue-médecin de se
montrer très prudent: s'il ne peut rien dire d'encourageant,
qu'il se taise.Cet avertissement s'applique tout
particulièrement à ceux qui ont des malades avec le Taureau ou
la Vierge à l'Ascendant ou le Soleil ou la Lune dans ces signes.
Ces positions prédisposent le mental à se concentrer sur la
maladie, et cela souvent sans raison sérieuse. Le Taurien craint
la maladie à un degré qui touche presque à la folie; donc, lui
prédire une maladie lui est forcément fatal. Les natifs de la
Vierge courtisent la maladie dans le but d'éveiller la
sympathie, et bien qu'ils prétendent aspirer à la guérison, en
réalité, ils se plaisent à entretenir leur mal. Ils supplient
qu'on leur en indique les symptômes, les crises, etc., et
prennent plaisir à scruter à fond le sujet. Ils prétendent
pouvoir supporter de tout savoir et assurent que cela leur sera
d'un grand secours; mais si le docteur se laisse gagner par leurs
protestations, et leur dit la vérité, ils se flétrissent comme
une fleur. Ce sont les gens les plus difficiles à aider, et il
convient de prendre le plus grand soin pour ne pas augmenter leur
risque de maladie en entretenant leurs désirs morbides.
En outre, bien que les auteurs du présent ouvrage aient
pratiqué l'astrologie médicale pendant de longues années, avec
un succès remarquable, et bien que l'astrologie soit une science
absolument exacte, il ne faut pas oublier qu'il reste néanmoins
le risque d'un jugement erroné de la part du guérisseur. C'est
celui que la personne dont il interprète le thème affirme sa
volonté dans une mesure telle qu'elle en maîtrise les
indications. Car la personne peut changer son genre de vie, et
par suite, se trouver tout à fait hors de danger
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à l'époque où les tendances à la maladie, prévues dans
son thème viennent à échéance. N'aurait-il pas été cruel
d'inquiéter inutilement son esprit?
Naturellement, le jeune étudiant sera plus apte à commettre
une erreur de jugement, bien que nul ne soit infaillible. Cela
nous remet en mémoire un cas qui nous fut soumis récemment. Un
des plus célèbres astrologues européens prédit à un de ses
clients de l'Afrique du Sud qu'à une certaine date il
souffrirait d'une grave hémorragie des poumons. Le pauvre homme
s'adressa à nous pour le secourir. Or, bien que le thème natal
montrât des tendances aux rhumes de poitrine, nous ne
découvrîmes rien de sérieux pour l'époque indiquée, et
aucune hémorragie n'a eu lieu pendant l'année qui s'est
écoulée depuis que la prédiction a été faite.
Quelques étudiants éprouvent le désir morbide de connaître
l'époque de leur propre mort, et s'ingénient à la préciser de
la façon la moins justifiée. Mais quelle que soit la manière
dont ils cherchent à se tromper eux-mêmes, il en est peu qui
aient la robustesse mentale et morale de continuer à vivre leur
vie normalement s'ils savent avec une certitude absolue qu'à une
certaine date, leur existence terrestre est destinée à prendre
fin. C'est là, heureusement, un point qui nous est caché,
jusqu'à ce que nous en soyons arrivés à voir des deux côtés
du voile, et nous avons tort-quel que soit le terrain sur lequel
nous nous plaçons-de chercher à arracher cette connaissance des
données de notre nativité. D'ailleurs ne dit-on pas «qu'un
médecin qui formule une ordonnance pour lui-même a un sot ou un
fou pour client?» Cela s'applique au décuple au diagnostic
qu'un astrologue tirerait de son propre thème astrologique, car
nous sommes tous enclins à la partialité, soit que nous
passions trop à la légère sur les détails, soit que nous nous
y arrêtions trop sérieusement, surtout lorsqu'il s'agit
d'étudier le genre et le moment de notre mort.
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Nous nous souvenons d'un cas où une femme-une
intellectuelle-directrice d'une école privée à New York, nous
écrivit pour demander d'être admise à notre cours par
correspondance, «si nous pensions que cela en valut la peine,
car elle devait mourir dans la première semaine du mois de mars
suivant». Elle nous citait les aspects sur lesquels elle basait
son jugement, et comme l'un des auteurs venait d'échapper sain
et sauf à des configurations semblables, elle répondit à la
dame en question de façon à redresser son jugement. A présent,
cette personne ne songe plus qu'à mener une vie utile: elle a
appris à oublier la mort. L'astrologie est une science trop
sacrée pour qu'on en mésuse. Que l'étudiant lui aussi oublie
son propre thème astrologique et ne s'occupe qu'à appliquer sa
science au soulagement d'autrui. Il amassera ainsi des trésors
dans le ciel d'une façon plus certaine qu'il ne pourrait le
faire par aucun autre genre d'efforts spirituels.
Lorsque nous étudions le magnétisme, nous avons à faire à
une force invisible et, en général, nous pouvons tout au plus
établir la manière dont il se manifeste dans le monde physique,
comme c'est, du reste, le cas toutes les fois que l'on se trouve
en présence d'une force quelconque. Le monde physique est le
monde des effets; les causes sont, le plus souvent, cachées à
notre vue, quoiqu'elles soient plus à notre portée que nos
mains et nos pieds mêmes. La force est partout autour de nous:
invisible, elle ne se révèle que par les effets qu'elle
produit. Par exemple, si nous prenons un vase plein d'eau et que
nous la laissions geler, nous verrons une myriade de cristaux de
glace formant de jolies figures géométriques qui montrent les
lignes le long desquelles l'eau s'est congelée. Or, celles-ci
sont précisément des lignes de force qui étaient là
présentes
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avant que l'eau ne se congelât; mais elles étaient
invisibles tant que les conditions favorables à leur
manifestation ne leur avaient pas été fournies.
De même les lignes de force entre les deux pôles d'un aimant
ne se manifestent que lorsque celui-ci vient en contact avec de
la limaille de fer et forme le curieux dessin appelé spectre
magnétique. Ainsi, en faisant naître des conditions
appropriées, nous pouvons obliger l'une quelconque des forces de
la nature à manifester ses effets-en faisant mouvoir nos
tramways, en transmettant des messages avec la rapidité de
l'éclair à des milliers de milles, etc.; mais la force
elle-même reste toujours invisible. Nous savons que le
magnétisme voyage toujours à angles droits par rapport au
courant électrique par lequel il se manifeste; nous savons la
différence qui existe entre le courant électrique et le courant
magnétique dont les rapports sont si intimes, mais nous n'avons
jamais vu ni l'un ni l'autre, bien qu'ils soient les serviteurs
les plus précieux que nous ayons aujourd'hui.
Le magnétisme peut se diviser en deux classes: le magnétisme
terrestre ou minéral et le magnétisme animal-bien qu'en
réalité les deux ne fassent qu'un. Le premier n'a que très peu
d'influence sur le tissu animal, tandis que le second est,
généralement, impuissant à agir sur les minéraux.
Le magnétisme terrestre dérive directement de la pierre
d'aimant dont on se sert pour aimanter le fer. Cette sorte
d'aimant est peu utilisée de nos jours, cependant, parce que son
magnétisme se perd, devient trop faible comparativement à son
volume, et surtout parce que la force magnétique ne peut être
contrôlée dans un tel aimant, appelé «permanent».
«L'électro-aimant» est aussi un aimant «minéral». C'est
simplement un morceau de fer bobiné d'un grand nombre de tours
d'un fil électrique La force de cet aimant varie en raison du
nombre des tours et de la force
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du courant électrique qui passe au travers.
L'électricité nous environne de toutes parts à l'état
diffus. Elle n'est utilisable pour l'industrie que lorsqu'elle
est comprimée et forcée à traverser des fils métalliques par
de puissants électro-aimants. Il nous faut tout d'abord avoir le
magnétisme avant de pouvoir générer l'électricité. Avant
qu'un nouveau générateur électrique ne soit mis en mouvement,
le champ de son action qui n'est autre que des électro-aimants
doit être magnétisé; autrement, celui-ci ne peut fonctionner;
la force absente ne pourra ni allumer une seule lampe, ni
soulever le moindre poids. Tout dépend donc d'abord de la
présence d'un magnétisme initial. Une fois que ce dernier aura
été produit, il en restera toujours un peu à la fermeture du
générateur, et ce magnétisme permanent sera le ferment de la
force à utiliser chaque fois que le générateur sera mis de
nouveau en marche.
Tous les corps animés, plantes, animaux, hommes ne sont que
des minéraux transformés. Tous proviennent du règne minéral,
et l'analyse chimique de la plante, de l'animal et de l'homme
démontre ce fait évident. Bien plus, nous savons que les
plantes tirent leur substance du sol minéral, que l'homme et
l'animal absorbent des sels minéraux lorsqu'ils consomment des
plantes pour leur nourriture. En mangeant la chair des animaux,
l'homme n'en absorbe pas moins des composés minéraux; et, en
conséquence, il s'assimile tout à la fois et la substance
minérale, et la force magnétique qu'elle contient.
Nous voyons cette force se manifester dans l'hémoglobine ou
matière colorante du sang qui attire à elle l'oxygène-principe
de vie-quand elle vient en contact avec lui par les millions de
vaisseaux capillaires des poumons, pour s'en séparer aussi
rapidement ensuite en passant à travers d'autres capillaires
qui, par tout le corps, relient les artères aux veines.
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Pourquoi cela? Afin de le comprendre, il nous faut étudier un
peu plus la manière dont le magnétisme se manifeste dans son
utilisation industrielle.
Il y a toujours deux champs d'action, ou un multiple de deux,
dans un générateur ou un moteur, un champ alterné ou aimant
étant le pôle nord, et l'autre le pôle sud. Si nous désirons
mettre en action deux ou plusieurs générateurs et forcer leur
électricité sur le même fil, la première condition qui
s'impose est de diriger le flux magnétique des générateurs
dans le même sens. Autrement ceux-ci n'agiraient pas de concert;
ils engendreraient des courants allant en sens opposés, et
brûleraient leurs fusibles. Cela proviendrait du fait que les
pôles d'un des générateurs qui devaient attirer, repoussent,
et vice versa. Le remède consiste à changer les extrémités du
fil qui magnétise les champs; alors, le courant magnétique d'un
des générateurs deviendra semblable au courant de l'autre, et
les deux s'harmoniseront.
De semblables conditions s'imposent lorsqu'il s'agit de
guérisons magnétiques. Un certain taux de vibrations et de
polarité magnétique a été départi à chacun de nous, lorsque
les forces stellaires envahirent notre corps nous donnant le
baptême des astres, au moment même de notre première
inspiration. Ces forces se sont modifiées au cours de notre
pèlerinage terrestre; mais, dans l'ensemble, leur impulsion
initiale persiste, et c'est pourquoi le thème de nativité
conserve le pouvoir le plus vital pour déterminer nos
sympathies, nos antipathies instinctives auxquelles on peut se
fier bien plus qu'à nos aversions et à nos goûts conscients.
Il peut nous arriver de rencontrer une personne et de l'aimer,
bien que nous ayons l'intuition qu'elle a sur nous une influence
malfaisante que nous ne pouvons nous expliquer et que, par
conséquent, nous essayons de faire taire. Mais si nous comparons
son thème astrologique au nôtre, nous en verrons la raison, et
si nous
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sommes sages, nous tiendrons compte de l'avertissement, car
autrement, aussi sûrement que les planètes se meuvent dans leur
orbite autour du soleil, nous en viendrons à regretter de ne pas
avoir tenu compte des mots «tracés sur le mur».
Mais il y a aussi de nombreux cas où nous ne percevons pas
l'antipathie qui existe entre nous et une certaine personne, bien
que le thème astrologique la révèle, et si nous en voyons le
pronostic en comparant les deux thèmes, nous nous sentons
plutôt portés à nous fier à nos sentiments qu'à tenir compte
de l'écriture stellaire des horoscopes Cela aussi, avec le
temps, fera naître maints soucis, car la polarité planétaire
se manifestera sûrement en temps donné, à moins que les deux
parties soient suffisamment évoluées pour pouvoir-du moins dans
une certaine mesure-gouverner leurs astres. Mais de telles
personnes sont rares, et ne se rencontrent qu'à de longs
intervalles, à notre présent stade d'évolution. Aussi,
utilisant nos connaissances de l'écriture des astres,
ferons-nous bien de comparer notre thème natal avec ceux des
gens qui entrent intimement dans notre vie; cela peut nous
préserver, eux et nous, de bien des misères et de bien des
chagrins. Nous conseillons particulièrement d'appliquer cette
mesure lorsqu'il s'agit du choix d'un médecin ou d'un futur
conjoint.
Lorsqu'une personne est malade, sa force de résistance est à
son niveau le plus bas et, par suite, elle est incapable
d'écarter les influences extérieures; de sorte que les
vibrations du guérisseur ont, pratiquement, un effet
irrésistible sur elle. Or, ce guérisseur fut-il animé des
sentiments du plus pur altruisme et prêt à donner sa propre vie
pour le soulagement de son malade, si les étoiles de l'un et de
l'autre sont adverses à la naissance, sa puissance vibratoire et
son magnétisme personnel auront forcément un effet malfaisant
sur le malade. C'est pourquoi il est de première nécessité
pour tout guérisseur de connaître l'astrologie et la loi de
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compatibilité, soit qu'il guérisse ouvertement par le
magnétisme et l'imposition des mains, soit qu'il appartienne aux
facultés et écoles de médecine régulières, car les médecins
aussi infusent leurs vibrations dans l'aura de leurs malades, et
aident ou gênent, selon le rapport de leur polarité avec celle
de leurs clients.
Ce qui a été dit au sujet du guérisseur s'applique avec une
force décuplée aux gardes-malades, car ceux-ci sont presque
toujours auprès de leurs malades, et leur contact avec eux en
est d'autant plus étroit.
La compatibilité entre médecin, infirmier et malade est
déterminée par le signe ascendant, Saturne et la 6e Maison. Si
leurs Ascendants concordent, si, par exemple, tous ont des signes
ascendants de feu, de terre, d'air ou d'eau, ils s'harmonisent;
mais si le malade a un signe d'eau à l'Ascendant et que le
docteur ou la garde-malade aient des signes de feu, il en
résultera un effet très fâcheux.
Il est important aussi de s'assurer que, dans le thème
astrologique de la garde-malade ou du médecin, Saturne ne soit
pas placé dans aucun des degrés du zodiaque de la 6e Maison du
malade.
Pour ce qui a trait au mariage, la polarité planétaire se
démontre principalement par l'examen de la féminine Lune et
celui de Vénus dans le thème de nativité d'un homme, car ces
deux planètes décrivent son penchant pour le sexe opposé. Dans
le thème d'une femme, le masculin Soleil et Mars ont une
signification identique. Si ces planètes sont harmonieusement
configurées, et que les signes sur les pointes de la 7e Maison
des futurs conjoints s'accordent, l'harmonie prévaudra dans le
ménage-surtout si le Soleil, Vénus ou Jupiter de l'un d'eux est
situé dans la 7e Maison de l'autre. Mais si les planètes
mentionnées s'affligent, ou si la 7e Maison des conjoints
éventuels ne s'harmonise pas, ou bien si Saturne, Mars, Uranus
ou Neptune de l'un est situé dans un degré quelconque de la 7e
Maison de l'autre, c'est la main qui écrit sur le mur les mots
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fatidiques indiquant que les polarités planétaires ne sont
pas en harmonie et que, par conséquent le chagrin leur est
réservé s'ils permettent à des sentiments vaguement
émotionnels de les unir par un lien infortuné; car s'il est
aisé de changer les fils électriques de deux générateurs de
façon que leurs polarités s'accordent et se complètent, il est
extrêmement difficile de renverser la polarité planétaire
d'une personne pour la mettre en accord avec celle qui est reçue
par une autre personne lors de son baptême planétaire.