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CHAPITRE SIX

L'ÉNIGMATIQUE SECRET DES LIEUX

       L'Aude, cette magnifique région du sud-ouest de la France, me fascine pour plusieurs raisons. Pendant que Henry Lincoln faisait ses recherches aboutissant à son oeuvre, moi, j'allais en vacances, coïncidence ? dans l'Aude à Port Leucate, où nous avions à l'époque,

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un pied-à-terre.

       Je ne connaissais rien alors au mystère de Rennes, mais pourtant j'étais irrésistiblement attirée vers l'arrière-pays, et ainsi, pendant quelques étés j'explorai les routes serpentines de la région de l’Aude jusqu'à Quillan. Et tous les châteaux en ruine sur mon passage, de une ! De deux !

       En reculant dans le temps vers mes dix-sept ans, je me suis souvenue d'un événement qui fut depuis, un de mes mystères personnels, inexplicable... et demeuré inexpliqué.

       Je vous le raconte succinctement.

       Alors qu'un jour, en visite chez ma grande cousine Colette, plus âgée que moi de quelques vingt ans, j'avais été emmenée à rencontrer à nouveau, ses étranges amis qui s'intéressaient tout comme elle, aux sciences occultes, à la parapsychologie... et à moi.

         Ce jour-là, ma visite n'avait pas un but uniquement amical. Ces spécialistes de l'étrange avaient décelé en moi un signe qu'ils voulaient vérifier. J'étais flattée qu'on m'accorde tant d'importance.

          L'un d'eux s'était mis en devoir de me faire passer un test avec un genre de détecteur de mensonges... muni de deux manettes, d'une aiguille mobile, et de quelques boutons sur le devant de l'appareil. On voulait vérifier ‘’scientifiquement’’ quelque chose. Car ils avaient, semble-t-il, une théorie me concernant!

          Les questions posées avaient trait au sud de la France et aussi en alternance, à d'autres régions du monde. Je me rappelle que leurs questions n'avaient évoqué chez
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moi aucune impression particulière, sauf que, à la mention des Pyrénées et du Pays Basque, l'aiguille s'est figée sur un point fort du cadran et n'en a plus bougé!

         Mystère et boule de gomme…

         Comme j'étais très jeune à l'époque et complètement inexpérimentée, je n'ai pas eu la curiosité d'en savoir davantage. J'appris seulement que cela avait vaguement trait à la réincarnation.

         Malgré que j'aie revu ma cousine de nombreuses fois, nous n'en avons jamais reparlé et elle finit par quitter ce monde, sans me mettre dans la confidence. J'avais oublié... et elle aussi.

         De trois !

Peu de temps après l'épisode du détecteur de mensonges, Colette m'avait offert alors de tenter une nouvelle expérience, celle-là, à l'aide d'un Nom, sur lequel je devais méditer dans la paix et l'harmonie la plus complète.

         '’Je devais’’ disait-elle,"recevoir un signe".

L'EXPÉRIENCE DE LA LUMIÈRE RONDE

        Un certain dimanche matin, alors que ma petite famille sommeillait, je m'étais cachée dans ma garde-robe et avais entrepris cette méditation... sur le Nom. Un nom que l'on retrouve dans la Bible. À cette époque je n'en savais rien.

        Dans le silence de cette heure matinale, je commençai à méditer. On m'avait dit qu'il fallait que je sois très positive. Allais-je l'être assez ? J'avais un peu peur, mais ma
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témérité, enhardie par l’inconnu, l’emporta. Après un certain temps de positivité, d'immobilité, la lassitude s'installant et ne voyant rien venir, je mis fin à l'expérience... et je sortis du placard. En arrivant à l'extérieur de mon sanctuaire, en me relevant, j'en fus quitte pour toute une surprise. Ma robe de chambre s'est mise à se gonfler dans un mouvement contenu et continu comme si un courant d'air en fut prisonnier!

J'appelle Louise, ma sœur aînée, fidèle complice de mes jeux, pour qu'elle aussi constate le phénomène... Elle eut peur! Personne dans cette maison ne soupçonnait l'ampleur des expériences auxquelles je m'adonnais.

Elle s'approchait de moi craintive en me donnant de petits coups de pied, comme pour chasser l’intrus. Moi de mon côté, je tentais de la rassurer de mon mieux. Je lui disais "qu'étant donné qu'il me fallait être très "positive" pour méditer sur le Nom, ça ne pouvait sûrement pas être quelque chose de négatif, de mauvais!"

           Alors à la façon des magiciens, en toute ostentation, j'enlève ma robe de chambre, la retourne de tous côtés, la secoue et la revêts à nouveau: ma robe de chambre avait retrouvé son calme, tout avait disparu... croyais-je!

           La suite du dimanche se passa sans que j'aie le temps de repenser à mon expérience du matin. En fait, je l'avais oubliée. Ce n'est qu'au soir que la mémoire me revint.

           Après une interminable conversation téléphonique avec ma cousine, comme j'étais seule à la maison et qu'il se faisait tard, j'allai tout bonnement me coucher.

Les stores baissés et toutes lumières éteintes, je fis alors l'expérience... de la
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lumière ronde.  Blottie sous les couvertures, je vis au-dessus de mon cœur, une lumière ronde, toute blanche, de la taille d'une petite clémentine! Sur le coup, j'en eus le souffle coupé. Je tentais de rester calme, sans bouger, en cherchant des yeux, d'où pouvait filtrer pareille lumière. Mais, cette lumière venait visiblement de nulle part. Ce n'était pas un rêve et dès que je l'aperçus, je me rappelais ma méditation du matin sur le "Nom".

         Après la montée d'adrénaline passée et comme ma "visiteuse" ne semblait pas vouloir
bouger, instinctivement je mis la main dessus. Ma peau devint soudainement franchement rouge, comme si la lumière eut été captive sous ma main. Aucune douleur, aucune sensation particulière n'accompagnait le mystérieux phénomène de cette inexplicable présence.

         Je secouai une première fois la couverture et la lumière disparut. Je la secouai à nouveau et la lumière revint se placer directement sur mon cœur qui battait très vite! Après quelques instants de calme retrouvé, je secouai à nouveau la couverture et là, la lumière disparut... sans laisser de trace.

         Je bondis hors de mon lit, allumai toutes les lumières et téléphonai à ma cousine Colette avec qui je parlai jusqu'à l'arrivée de mes parents. Elle avait peu commenté l'expérience, sans doute à cause de mon jeune âge et aussi sûrement parce qu'elle ne savait pas et ne pouvait pas m'expliquer logiquement ce qui s'était véritablement passé.

         J'avais eu le "signe", et c'est, semble-t-il, ce qui importait.

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         Et voilà que, plusieurs décennies après l’expérience de la lumière ronde, en examinant à la loupe la carte de Rennes-le-Château, j'y vois, quelle surprise! dans un point fort de la mystérieuse géométrie des lieux, le Nom… Le Nom que j'avais évoqué!

         Ce nom je ne le dévoilerai pas ici, mais les chercheurs perspicaces sauront le trouver, n’est-ce pas ?

         J'aimerais maintenant raconter au lecteur une autre petite anecdote concernant la lumière, qui me revint à l'esprit suite à l'évocation de la précédente. Quand j'avais trois ou quatre ans, ma grand-mère maternelle prenait parfois un malin plaisir à me taquiner et son truc favori était de me demander: "Qui aimes-tu le mieux, ton père ou ta mère?"

         Sa question me faisait beaucoup souffrir, mais j'avais trouvé une réponse lumineuse. En levant les yeux au plafond, je répondais la ‘’LUMIÈRE’’ !

Par la suite et surtout après 19731, j'eus le bonheur de recevoir à quelques reprises la visite de la lumière, mais cela se passait à l'intérieur de mon être. Ainsi une lumière faite de connaissance aimante, m'arrivait parfois suite à une longue concentration; comme si le sommet de ma tête se fut soudainement ouvert et laissait entrer cette visiteuse,

1 En 1973, le 19 mars. Un grand moment dont je parlerai sous peu.

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m’apportant "connaissance, conscience, joie" !


LA PIERRE DE COUME SOURDE

        Dans les environs de Rennes-les-Bains, j'ai remarqué sur ma carte, un endroit mystérieux à souhait et qui porte le nom évocateur de... COUME SOURDE, en relation avec une pierre! Habituellement, les pierres sont muettes, mais là, la pierre est comme sourde… Pourquoi? La chute des deux Géants l'aurait-elle rendue comme sourde?

        Quoi qu'il en soit, cet endroit semble en relation avec un autre document (Document C), qui rappelle un peu le tablier des Rosicruciens. Ce parchemin est la représentation d'une pierre marquant ce lieu, et qui manifestement, a disparu depuis un bon nombre d'années. On la retrace uniquement par divers écrits de la Région qui la mentionnent et en donnent le dessin.

        C'est à partir de ce Document que fut découvert l'un des mystères de Rennes-le-Château, qui s'avérait être de nature géométrique, en ce "Pentacle de Montagnes" formant... ‘’Le saint Lieu". (The Holy Place)

        Pour ma part, je n'y ai pas trouvé de pistes vraiment intéressantes mais puisqu'il fut pour d'autres, l'instrument essentiel à leurs découvertes, j'ai pensé l'inclure malgré tout.

        La Pierre se situait à l'origine près du pied de la Femme, au lac du Paradis.

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        Ce qu'elle avait de particulier, c'est qu'elle annonçait une forme géométrique, où "in mémo" entrecoupé d'une petite croix, suggérait au chercheur qu'il devait "se rappeler" d'utiliser ces croix (+) figurant dans d'autres documents. La phrase latine "Linea ubi M secat finea parva" semblait signifier "Au milieu où le M coupe une ligne plus petite". Le M évoquait-il l'un des 14 ‘’Le Moulin’’?

         Quant au P-S, il indiquait comme on l'a vu précédemment, cette signature de la Pierre de Sion. Quoi qu'il en soit, il suggérait semble-t-il, qu'il fallait revenir au Document B, pour aller y joindre les petites croix. Ce que je fis.

 

Document C (Fig.6.1)

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          Au bas du Document, il y avait suffisamment de IS pour écrire plusieurs fois le nom d'Isis. Quant au Solis Sacerdobitus, il était peut-être en rapport avec un certain sacerdoce solaire relié à Isis? Et puis, j'ai repensé au texte qui était apparu en bordure du Document B: "Sabb a repéré un site, le site est surveillé par  Mandu Cumera..."  Mandu... me suggéra la manducation... chez les araignées. Et voilà qu'une image d’horreur se forma dans ma tête. Il m'apparaît par ailleurs, que les documents trouvés à Rennes-le- Château peuvent être interprétés à différents niveaux, du tellurique au spirituel, dépendant de notre propre champ d'intérêt, car le "trésor de Rennes" semble se situer à tous ces niveaux.

        Quoi qu'il en soit, l'araignée était-elle la gardienne d'un trésor? Ce trésor pouvait-il être entre autres choses, la Tiare d'Isis et les différents objets d'un culte solaire où les grands prêtres sacrifiaient à RA? Quant à l’araignée figurant sur le Document A, elle représentait au premier degré, qui sait? un avertissement... d'où... l'horreur... s'il advenait qu'un malheureux s'aventure un peu trop profondément dans son
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antre. C'est peut-être ce qui arriva au curé Saunière qui vers la cinquantaine fut accidentellement éborgné et dut, par la suite, porter un oeil de verre. On ne sait  ce qui se passa au juste mais on raconte dans "Rennes-le-Château", que Saunière s'adonnait à des excavations nocturnes qui ont semblées coïncider avec sa nouvelle opulence et son accident. Suite à ses découvertes, le curé Saunière fit construire des routes tout autour du village. Il fit aussi retaper l'église Marie-Madeleine; fit construire un nouveau presbytère auquel il donna le nom de Villa Bethania et puis, il fit bâtir une superbe bibliothèque qu'il nomma la Tour Magdala. On apprend aussi que les plans de la Tour furent déposés par l'architecte, aux archives de la Rose+Croix A.M.O.R.C., vers 1940.

UN AUTRE MYSTÈRE

Quand l'auteur Henry Lincoln commença ses recherches sur Rennes-le-Château,
suite à la parution des documents figurant dans "Le Trésor maudit", (Documents A, B, C, D, E, figurant dans ce livre), il communiqua avec Gérard de Sède pour lui faire part de ses découvertes. Suite à leur première communication, celui-ci lui fournit périodiquement de nouveaux indices... comme si quelque chose devait venir à jour.

Lincoln trouva alors, tiré du Document E, (l'épitaphe de Marie de Blanchefort), un code que les experts connaissent et qu'ils nomment "Mort-épée".

Quand au Document D, selon de Sède qui le déchiffra, il dit avoir eu besoin des experts du chiffre de l'Armée française pour en venir à bout. Mais aux dires des experts
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anglais qui ont travaillé avec Lincoln, il était impossible d’arriver a ce résultat sans en connaître déjà les clés! À la limite, on se demande qui est Gérard de Sède et quel rôle il joue au sein du mystère de Rennes... qui perdure !
           Voici ce message tiré du Document D.1

"Bergère, pas de tentation,

que Poussin Teniers gardent

la clef  PAX, DCLXXXI  par

la Croix et ce cheval de Dieu,

j'achève ce daémon de gardien

 à  midi pommes bleues’’
           Ces mots mystérieusement agencés, que peuvent-ils vouloir dire? Certains auteurs imaginatifs ont trouvé dans ce message sibyllin des outils pour leurs découvertes.

1Toute la démarche du déchiffrement est livrée dans  ‘’The Holy Place".

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Ce texte latin est tiré des Évangiles.

C'est le moment où Jésus va  chez  Lazare, moment où Marie-Madeleine verse le nard précieux sur les pieds de Jésus.
Document D.
De ce texte fut tiré la phrase:

"Bergère pas de tentation, que Poussin Teniers gardent la clef  PAX..." (p. 90 The Holy Place)
(Fig.6.2)

 

 

Le Document E, menait 
au code... Mort-Épée, 
évoqué dans The Holy Place. 

(H. Lincoln)
                                                                            (Fig.6.3)   

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        Poussin et Teniers auquel le message se réfère, sont deux peintres renommés de la Renaissance. La clé évoquée ici semble de nature géométrique et concernerait davantage Nicolas Poussin. Selon les experts, le Peintre se serait servi de la géométrie sacrée dans la construction de ses tableaux. La preuve en fut spécifiquement faite pour "Les bergers d'Arcadie". On croit que Poussin aurait ainsi consigné des secrets... d'initiés! Ce tableau représente des bergers contemplant l'épitaphe d'un tombeau où l’on peut lire "Et IN ARCADIA EGO".

         Puisque c'est la "bergère" qui semble ici inciter les bergers à découvrir le contenu de l'épitaphe; puisque c'est cette même phrase qui se retrouvait sur un autre tombeau, celui de Marie de Blanchefort; et puisque c'est d'elle que découle ma plus importante découverte ; je pourrais donc à un certain niveau m'identifier à cette "bergère", pour voir où cela peut me conduire.

          Revenons à ce message tiré du Document C que je vais tenter de m'appliquer à moi-même... Christocentrisme oblige !

          Le "Bon Berger", c'est notoirement le Christ, donc la "bergère" pourrait dès lors s'appliquer à "Christine" à qui l'information parait, selon ma métalogique, être destinée. Et comme pour étayer mes prétentions, j'offre au lecteur une autre de mes petites trouvailles. Rappelons-nous la première partie du message : "Bergère pas de tentation, que Poussin Teniers gardent la clef PAXDCLXXXI… par

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la CROIX..."

On sait qu'au-dessus de la Croix figurait un message, que l'on représente généralement par quatre lettres:

I N R I

           En regardant attentivement ces quatre lettres, cela m'est venu que... je pouvais y écrire mon prénom, en y intercalant les lettres manquantes ! Les syllabes seront alors inversées.


l N R l
chRIst
INe

"Quatre lettres de montrées... cinq de cachées !" 

Suite à cet heureux hasard, il m'apparaissait intéressant de tenter de m'appliquer l'intégralité de la "Clef Pax DCLXXXI’’.

Ce que j'y découvris au départ, c'est le mot PAX, qui inversé, représentait ces trois

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lettres grecques XAP, épelant en français les trois premières lettres de Caron! (X = C   A = A   P = R).

          À cette "CLEF PAX'" s'additionnait aussi les Chiffres romains : D = 500, C = 100, L = 50, XX X = 30, et 1, totalisant 681.

         Quelle surprise de constater que "681" est la représentation numérique de trois éléments du tableau périodique : 6, le nombre du carbone; 8, de l’oxigène et 1, de l’hydrogène. Et que ces éléments me rejoignent personnellement puisqu'ils sont l'illustration symbolique du nom d'un de mes Ancêtres.

         Que pouvais-je donc tirer de cette ‘’clef’’, qui semblait sortir tout droit de mon armoire à clés ?

J'y vis d'abord cette "Clef Pax" formée de 4 et 3 lettres... annonçant le "43". Nombre représentant l’Arbre-Porte, il figure sur le Document B et me rejoint aussi, personnellement.

En "DCLXXXI",  les 7 chiffres romains se formaient de 4 lettres assorties, et 3 lettres identiques, suggérant à nouveau le "43".

PA : pour… Parchemins ! C’est le nom que Lincoln donnait aux documents; là où j’ai fait mes plus importantes découvertes.

X: 10 en chiffre romain... pour octobre...

D: 4ième lettre de l'alphabet.

C: 3ième lettre de l'alphabet.

Encore le ''43", pour l'année...

LXXXI: 81... nombre en réflexion de 18, pour le jour...

N'est-ce pas assez étonnant que j'y trouve ma date de naissance ?

Cette "clef" qui paraissait de toute évidence m'être destinée, est le mot PAX lui-

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même, qui, à cause de sa représentation particulière sur le Document A, me conduisit à la découverte de cet étonnant mystère au sein des étoiles ! Le chapitre 7 y est complètement consacré.

          On pourrait aussi expliquer cette ‘’clef’’ très différemment, ce que plusieurs auteur sont fait et ils n'ont pas tort. Tout dépend de ce que l'ont cherche et quelle façon on s'y prend pour trouver.

          Une autre particularité m'est apparue.

          Le peintre Poussin et moi, avons au moins deux points en commun et pas les moindres. Ce sont la peinture et les étoiles.

          En 1993, je me suis remise à la peinture, cela m'arrive périodiquement, c'est une de mes passions, et pendant une année, je n'ai peint quasi-exclusivement que des étoiles. Bien sûr, il y avait d’autres éléments sur mes toiles; des nébuleuses, des galaxies, des lunes, des planètes, des visages apparaissant dans le cosmos, mais essentiellement ma base était l'étoile. À part peut-être une exception, un tableau intitulé Délire Pastel. On y reviendra, ce tableau a son mystère.

         Quant  au "ET IN ARCADIA  EGO"  figurant sur plusieurs tableaux de Nicolas Poussin, c'est une phrase latine que l'on retrouve parfois écrite de lettres grecques, et qui fit le bonheur de bon nombre de mystagogues.

Depuis le XVIième siècle, nous l'avons vue reproduite dans plusieurs oeuvres, mais sa première parution fut signalée sur une gravure allemande représentant le Roi de Sion détrôné après avoir instauré l'Age d'or.

 

© Copyright - Chris Caron 1995. Tous droits réservés.

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